Confrontés au vieillissement des publics et à une augmentation des dépendances, les professionnels de l’accompagnement peuvent se sentir impuissants face aux difficultés de communication, les situations de souffrance morale ou les personnes présentant des troubles du comportement (déambulation, cri, violences verbales, opposition, etc.) ; cette impuissance, vecteur d’angoisse et de tension, peut avoir des conséquences sur la qualité de l’accompagnement, sur la dynamique d’équipe, sur l’investissement des professionnels.